Le mot du capitaine: «Après 20 ans, je n’ai pas encore tout vu»
Pour sa première chronique de la saison, Julien Sprunger, le capitaine de Fribourg-Gottéron, revient sur le drôle d’été de son équipe.
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«Bonjour! Andrei a pris sa retraite et La Liberté s’est tournée vers moi pour assurer la chronique. Je reprends le flambeau dès aujourd’hui. Comme je l’avais déjà fait il y a quelques années, j’essayerai, tout au long de la saison, de vous faire découvrir l’envers du décor en partageant avec vous mon ressenti et en vous dévoilant quelques anecdotes de notre vestiaire.
Pour ce premier rendez-vous saisonnier, je vais revenir sur notre été. Cela fait plus de 20 ans que je fais ce métier et j’ai parfois l’impression d’avoir tout vu, mais ce n’est pas le cas. Chaque année, il y a des surprises.
En août, il y a d’abord eu ce match à Vissoie. Quand on découvre notre programme et qu’on voit qu’on affronte Berne, juste avant le début de la Ligue des champions, on s’attend à un dernier test intense, presque comme un derby du championnat. On arrive là-bas au complet, on descend du car et on voit qu’il n’y a pas de murs et surtout qu’il y a 10 centimètres d’eau sur la glace…
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