Des souvenirs émus du 1er Mai

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J’apprécie Le mot de la fin de La Liberté, mais celui de M^me Eloïse Vallat du 1^er mai m’a surpris. Votre chroniqueuse se permet de flétrir une belle et sympathique coutume fribourgeoise, qui se perd du fait des portes d’immeubles fermées, la traitant de «maudite tradition» qui l’empêche, entre autres, d’apprécier son verre de chasselas «pétillant»! Les vignerons vaudois apprécieront…

J’ai chanté le 1^er Mai et j’en garde des souvenirs émus: j’ai écouté les enfants chanter, j’ai vu leurs yeux pétiller, même si la qualité des chants proposés est en baisse depuis bien quelque temps, malgré les efforts de ceux qui organisent des concours à cette occasion. Les propos de M^me Vallat m’ont déçu, ils ont de quoi porter sur les nerfs, pour paraphraser le titre de son papier. Et qu’on ne vienne pas me dire que c’était du second degré…